Parler pour ne rien dire: I (heart) New York

Magasin de bagues dentaires pour un sourire plus américain que jamais. Je tiens à préciser qu'il y a un nombre vraiment impressionnant d'adultes qui portent des bagues. Je n'ai pas encore percé ce mystère, mais chaque chose en son temps. Pour l'instant, j'ai déjà compris que tous ces gens habillés comme dans Urgences travaillaient vraiment dans des hôpitaux et que ce n'était pas un style que d'avoir ces ensembles unis, même s'il y a un petit logo Dickies.
On est d'accord, c'est un peu dégoûtant, non ? Ca leur semble complètement normal, aux Américains. Bêtement (et je suis pas la seule bête, si c'est le cas), j'imaginais ces tenues réservées au lieu un peu stérile qu'est l'hôpital, mais sûrement pas réservées, en plus de ca, à la foule du métro...

J'ai un peu perdu l'appétit, depuis mon arrivée. On se demande pourquoi...

Unique décoration de la chambre dans laquelle j'ai dormi à New York. C'était l'appartement le plus sale dans lequel j'aie eu à dormir. Et un cauchemard pour l'écologiste que je tente d'être. Un ventilateur énorme qui n'avait pas d'effet à plus de 3 cm de l'hélice qui marchait en permanence (un bruit de soufflerie jour et nuit, donc), toutes les lumières allumées également jour et nuit (je n'ai pas trouvé la moitié des interrupteurs), un robinet de salle de bain cassé (il coulait donc AUSSI en permanence). Mais de toutes façons, comme la porcelaine du lavabo était cassée et que celui-ci était plein des bouts de cheveux tondus du colocataire de celle qui m'accueillait (une connaissance au 3e degré, je ne pense pas qu'on se reverra...), il n'a pas vraiment été question pour moi d'utiliser la salle de bain.
Heureusement que Denoal logeait à quelques "blocs" de là, j'ai pu prendre ma douche chez lui chaque matin. (Et je vous assure ne pas avoir fait ma chochotte)